Chapter 4493
Chapitre 4493
– Un malentendu ?
Clément a ricané,
–
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– Toute la Cité G est au courant de cette affaire, même Constantin et Émeric pensent à tes trente millions de dollars. Tu penses que je vais te croire?
Margot était extrêmement nerveux. Il savait que pour sa propre sécurité, il ne pouvait pas admettre qu’il voulait tuer Adolphe. Sinon, il se ferait payer lourd.
Ainsi, il a répondu,
–
– M. Clément, cette affaire n’est qu’une rumeur. Beaucoup de gens en parlent sans douter de la réalité…
Clément a hoché la tête en disant,
— Bien, puisque tu ne l’admets pas, je vais te confronter avec quelqu’un. Que dirais–tu de faire venir Constantin ?
Margot, en entendant cela, a tremblé encore plus de peur.
Il savait que Constantin, pour plaire à Clément, dirait certainement la vérité sans hésitation, et il ne pouvait pas s’en sortir en se dérobant.
Pensant à cela, Margot a dit rapidement,
– M. Clément, je vous en prie, laissez–moi m’expliquer. J’ai en effet dit que j’étais mécontent de Adolphe, et que je le détestais mais je n’ai jamais pensé à
le tuer…
Clément, voyant qu’il ne confessait pas, a dit froidement,
– Margot, j’ai déjà su la vérité. Je ne suis pas venu de loin pour disputer contre toi. Ton déni est inutile. Tu as promis à mon père de ne plus harceler Adolphe et Yvonia, mais après la mort de mon père, tu as immédiatement violé ta propre promesse. Bitoric est même venu ici te voir une fois à ce sujet.
En parlant de cela, Clément a augmenté la voix, NôvelDrama.Org: owner of this content.
– Penses–tu que mon père est mort depuis plus de vingt ans et que personne ne viendrait te demander des comptes?
Margot, en entendant cela, était déjà tellement effrayé qu’il ne pouvait plus parler.
Il savait qu’il ne pouvait pas donner une explication raisonnable à sa violation de sa promesse.
Dans la panique, Margot s’est agenouillé sur le sol et a sangloté,
– M. Clément, ce que j’ai fait à l’époque était vraiment mal, mais comme j’étais aussi le victime en quelque sorte, je vous en prie, pardonnez–moi…
Il a regardé Adolphe à nouveau,
– Adolphe, aide–moi ! Aide–moi à plaider ma cause auprès de M. Clément. Je ne vais plus jamais te faire de mal ! Si cette fois je manque à cette promesse, je me ferai tuer par M. Clément sans aucune résistance.
Yvonia, à côté, était également paniquée et a supplié,
– Adolphe… Je me suis mariée avec Margot depuis plus de dix ans, et nous avons un fils. Je t’en prie, implore le pardon de M. Clément pour moi…
Quand elle a dit cela, des larmes ont commencé à couler sur son visage.